Je visitais le site Web de la CCAS RATP, ccas-ratp.fr, où l’on nous présente la mission, l’organisation et les services que la CCAS met à disposition des employés actifs de la RATP ainsi qu’aux anciens employés, maintenant à la retraite. On peut y voir, en même temps, les actions sociales ainsi que les plans de prévention que la CCAS met à disposition de ses bénéficiaires, dont agents en activité, les pensionnés, les enfants ou adultes handicapés, les personnes âgées.
Mais ce qui m’a, le plus, attiré, c’était la page des Publications, là où on peut (re) trouver tous les numéros du journal RESPIRE (pour les plus nouveaux entre vous : le Régime Spécial Informe ses Ressortissants). Je fais une lecture de surface, de la dernière parution ainsi que du premier numéro et une coïncidence heureuse me frappe. Chacune parle de renouvellement.
En 2004, nous trouvons la 1ère édition, au mois d’Octobre, qui annonce son objectif : informer ses lecteurs de l’actualité du régime de protection sociale et le faire d’une manière facilement accessible au publique large. Le journal allait résoudre deux points critiques : un nombre croissant d’appels vers la Caisse de Coordination aux Assurances Sociales ainsi que le besoin d’améliorer la transmission de l’information vers ses bénéficiaires. La modernisation de l’accueil CCAS implique l’installation de deux guichets ergonomiques, d’assurer un plus de confidentialité et un plus de convivialité.
En 2013, au mois de décembre, le dernier numéro du journal RESPIRE nous parle d’un nouveau accueil centralisé à Championnet, ouvert depuis Octobre 2013 et qui regroupe, sous le même toit, la CCAS, la Mutuelle, ainsi que les prestations familiales et le chômage. En même temps, on nous parle de Webitique et Téléservices.
Ces derniers annoncent le passage à une nouvelle époque. On facilite l’accès pour chacun des adhérents par un service qui met à disposition, sur le site de la CCAS, des documents et informations utiles. Les assurés peuvent opter pour la réception électronique des décomptes et des documents d’une façon sécurisée et un système d’archivage pendant 18 mois.
Dans ce dernier numéro du RESPIRE chaque assuré peut retrouver toute l’information nécessaire pour se connecter à son espace Web privé. Tous ce dont on a besoin est le NIR (numéro de sécurité sociale inscrit sur la carte VITALE, les 13 premiers chiffres) et un mot de passe, communiqué par la CCAS une fois choisie l’option de la dématérialisation des documents.
Une dernière nouveauté que la CCAS RATP annonce est un prochain service sécurisé d’échange qui permet aux utilisateurs d’interroger la CCAS, de suivre par courriel la réception et le statut de chaque demande. Les réponses seront archivées et accessibles aux utilisateurs pendant 24 mois.
Les efforts soutenus de la CCAS RATP pour venir à l’aide de ses assurés ne sont pas à ignorer. Tout cela vient du désir d’anticiper les besoins de chaque adhérent et d’offrir des services de qualité. A voir, maintenant, quoi de neuf pour l’année qui suit.
jaime(0)jaime pas(0)
Samedi 14/06/2014
LA RATP Direction Paris Est ( Terminus-Metro Gallieni)
Expéditeur: NOSSO-GAÉTAN
MONSIEUR;
Permettez-moi de vous solliciter pour vous tenir au courant d’un risque d’accident éviter de justesse ce matin samedi 16 plus précisément vers 07H35; A savoir j’ai failli me faire écrasé en traversent l’avenue du général de Gaulle sur l’angle de la rue Jean-Jaurès devant l’hôtel MISTER BED CITY et la gare routière internationale eurolines par le conducteur de la ligne 76 (BUS N°3178-IMMATRICULER 263 QYZ 75). En fait au moment ou je traversai sur le passage piétons tout en ayant m’engageait pendant que j’avais le feu-vert piétons en ma faveur ainsi une fois arrivée au milieu de l’avenue en question le bus s’engageait à son tour en bifurquant à droite en direction de son terminus du métro- gallieni ; bien entendu le feu-vert venait de s’allumer pour lui aussi sauf que à ma grande surprise m’ayant aperçu au milieu de l’avenue me dirigeait verts l’extrémité il continuait sa route foncer sur moi comme si de rien était sans pouvoir ralentir son élan ; du coup j’ai dû me résoudre à réaliser le danger de mort qui me guettait. J’ai fini par bondir (par un saut) pour m’extraire du danger d’un accident ou soit d’une mort possible. Par la suite je me suis permis de le rejoindre à son terminus pour essayer de lui faire comprendre gentiment et poliment la dangerosité de sa conduite et que de peu il allait me tuer ; rien à faire il ne m’écoutait pas du tout vite un dialogue de sourd s’est installé entre nous lui campait sur sa position d’avoir la priorité totale comme il venait d’avoir le feu-vert ce qui laisse entendre pour lui qu’il avait le droit de tout écraser sur son passage y compris les êtres-humains selon ses propres propos. Me recommandant plutôt de consulter le code de la route sur internet pour mieux comprendre comme quoi qu’il avait la priorité de priorité ; je reconnais avoir eu une discussion vive avec lui pendant au moins 10 à 15 minutes sans aucun résultat probant chacun défendaient ses arguments.
Ainsi j’attends de vous entant que son hiérarchie Autorité-Morale et administrative une réponse adéquate-appropriée à la situation en question.
Je vous prie d’agréer ; Monsieur,Madame;en l’expression de ma considération distinguée.
NOSSO-GAÉTAN.